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École Militaire
Annexe des Transmissions d'Air de France: Les Bâtiments
Dernière mise à jour le 6 octobre 2022 |
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Les différents bâtiments sont nommés sur le plan de l'école intégré au plan d'Air de France |
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| EMAT/AFN à Air de France : du projet ... ... à la réalité |
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| Le projet... | La réalisation : le "construit" fin août 1960 |
| Vues aériennes |
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Vue aérienne
d'Air de France vers 1960. En passant le curseur près des point
blancs vous verrez apparaître les noms des routes de Bouzaréah
et de Béni-Messous, des installations de l'EMAT, de la laiterie
Djaffer, de l'école primaire en préfabriqué, de l'école
mixte d'application, de la mairie annexe du 7ème arrondissement
du Grand Alger, du collège Baranès et de la cité
Fougeroux.
Quatre bâtiments recevaient la troupe, le 4ème était celui de la Compagnie d'École et des services administratifs. La zone demi-ronde, un peu plus bas, c’était le terrain de sport. (Pierre Vantalon) |
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Vue générale
de l'EMAT/AFN encore en construction vers 1960. En passant le curseur
près des point rouges vous verrez apparaître les noms des
installations de l'EMAT : Poste de Police, Place d'Armes, Restauration,
Cuisines, Bâtiment "Technique", Blocs "Troupe",
Atelier Auto, "Instruction" (le bâtiment "Commandement",
le Mess mixte et l’Infirmerie ne verront jamais le jour)
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Vue générale
de l'EMAT/AFN "définitive" en 1961. En passant le curseur
près des point rouges vous verrez apparaître les noms des
installations définitives de l'EMAT : Poste de Police, Place d'Armes,
Restauration, Cuisines, Bâtiment "Technique", Blocs "Troupe",
Atelier Auto, Instruction (le bâtiment "Commandement",
le Mess mixte et l’Infirmerie ne verront jamais le jour).
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L'EMAT vers 1960.
En passant le curseur près des carrés blancs vous pourrez
localiser, au premier plan, la route de Béni-Messous et, près
des points rouges, l'entrée de l'école et le Poste de Police,
un nouveau bâtiment en construction devant la Place d'Armes. A gauche
le bâtiment technique, et au fond, les villas du lotissement Clairval.
A droite le bâtiment réfectoire-services généraux
et les bâtiments "Troupe" T1 à T4 (ou A à
D)
L'affectation des bâtiments en janvier 1962 était la suivante. Bâtiment A ou T1: 1er GI (Groupe d'instruction) Peloton d'élèves sous officiers d'active PESOA, RDC et 1er étage, peloton d'élèves officiers de réserve EOR 2ème étage. Bâtiment B ou T2 : 3ème GI, Peloton de stagiaires appelés et en partie l'infirmerie (le médecin aspirant appelé devait s'appeler Cuvellier). Bâtiment C ou T3 : 2ème GI, Peloton de sous-officiers en formation pour des spécialités transmissions, salle de cours et peut-être logements pour les sous-officiers de passage en formation. Bâtiment D ou T4 : 4ème GI, PFAT et commandement EMAT, compagnie de services ?, fourrier. (Christian Roux) Le quatrième bâtiment était celui de la Compagnie d'École et des services administratifs. (Pierre Vantalon) |
| L'entrée et le Poste de Police |
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| L'entrée de l'EMAT avec le Poste de Police et, à gauche, le bâtiment du Service Auto | |
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| L'entrée de l'EMAT/AFN, route de Beni Messous (rue de Touraine) | Derrière les clôtures de l'EMAT/AFN, un peu avant l'entrée de l'École, les boutiques le long de la route de Beni Messous, et le début des rues de Bourgogne et du Languedoc |
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| L'entrée de l'EMAT/AFN, en face du restaurant des Mourjan | |
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Le Poste de Police
où se tenait le service de garde journalier pour l'ensemble du
camp, avec chef de poste, officier de Permanence et les effectifs de garde.
Prison militaire du corps incluse au bâtiment. Dans ce même
bâtiment se trouvait l'Infirmerie où nous avons reçu
nos piqûres d'incorporation et le central téléphonique.
Ce poste de Police se trouvait à l'entrée principale de
l'École située rue de Touraine (ou route de Béni-Messous),
avec une grille monumentale.
Derrière le poste, en contrebas, dans une espèce de carrière assez profonde se trouvait la piste FRAC (Formation Rationnelle Accélérée de Conducteurs) où l'on apprenait à conduire sur Jeep. En face de l'entrée du camp, rue de Touraine, se trouvait une petite épicerie-bazar-restaurant-laverie tenue par un pied-noir je crois. Bien entendu nous l'avions appelé "Chez la Mère Cassebite" comme dans tous les camps militaires de France et de …Algérie ! J'enrage de ne pas pouvoir retrouver son nom véritable ? Mémoire…mémoire…50 ans après (Théo Bruand). Guy "Matou" Olivès nous a rappelé son nom de famille : Mr Mourjan. |
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| La Place d'Armes |
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| La Place d'Armes avec, à gauche, le bâtiment "Restauration" | Faisant
suite à la Place d'Armes, le plateau d'évolution au fond à droite le bâtiment "Restauration" et à gauche les batiments "Troupes" |
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| La Place d'Armes avec, à droite, le bâtiment "Technique" et, à gauche, le bâtiment "Restauration". En 1961 ou 1962 (probablement entre le putsch du 22 avril 1961 et le soi-disant "cessez le feu" du 19 mars 1962, des témoins ont vu un hélicoptère qui tournait au dessus de l'EMAT avant de se poser dans la caserne. Ils virent alors le colonel ou lieutenant- colonel (Haricot ou Parison ?) quitter, d'un pas très pressé, le bâtiment "Commandement"... L'hélicoptère, équipé d'un détecteur goniométrique, avait détecté une émission pirate... Elle provenait du bâtiment "Technique". Bien que cet évènement n'ait été confirmé par aucun communiqué ou note officielle, l'information a circulé de bouche à oreille et a été connue de tous. | |
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| Photo prise depuis le toit du bâtiment "troupe" T2 (ou "B"). La place d'Armes montre son immensité avec au fond à gauche le Poste de Police et l'entrée du Camp et à droite, imposant aussi par sa masse, le bâtiment "Technique". Les piétons donnent une idée de l'échelle approximative (Théo Bruand). | Photo prise du toit terrasse
du bâtiment dit "Services Généraux, Réfectoire,
Cuisines et Installation Frigo" en direction du bâtiment dit
"Technique" où se trouvait sur le toit-terrasse l'émetteur
de secours de Radio-Alger. Dans ce bâtiment Technique il y avait en
sous-sol et sur l'arrière du bâtiment le Service Auto du camp
et le Service Essence. En 1959, j'ai connu les salles de cours technique
dans ce bâtiment où j'ai été instructeur "dépannage
télétype" et "exploitation télétype"
pour des appelés du contingent. (Theo Bruand) Dans le bâtiment technique et dans les cuisines, travaillaient des personnels civils. Un autocar qui les transportait et faisait la navette vers Alger, dans lequel une fois nous étions montés à bord, avec un copain ESOA pour escorter ce véhicule, suite à un appel à volontaires, sollicités par notre hiérarchie. (Christian Roux) |
| Le bâtiment "Instruction Technique" |
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| Au premier plan, le bâtiment
"Technique" mis en service en août 1958. Au fond, derrière
le bâtiment"Restauration", les quatre blocs "Troupe"
dont les deux premiers bâtiments seront mis en service en avril 1955,
le troisième en février 1958, et le quatrième en août
1958. En haut, à gauche, une partie du lotissement "Clairval". |
Photo du bâtiment "Technique"
prise depuis la Place d'Armes avec les "flotilles" de Simca Cargo,
GMC (CCKW353) et Dodge (WC51 ou 52 et WC 62) et une camionette Renault En juin 1962, le Colonel Jean-Baptiste ROUX a déménagé provisoirement le Commandement des Transmissions et s'est installé avec les antennes dans le bâtiment T3 de l'EMAT/AFN alors commandée par Lieutenant-colonel Parison (Christian Roux) |
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| Le bâtiment "Technique". A gauche, partiellement masqué, un half-track M3 (datant de la 2ème Guerre Mondiale !) et à droite une camionnette Renault. | Autre vue du splendide bâtiment "Technique" |
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| La face arrière du bâtiment "Technique" | Et la face avant du même bâtiment. Dans le fond les immeubles de la Cité de la Police et de la Cité Fougeroux |
| Le bâtiment "Instruction" (salles de cours) |
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Le bâtiment
"Instruction" et ses salles de cours, encore en construction,
qui ouvrira en octobre 1961. Au delà de la route de Béni-Messous,
de part et d'autre de la rue de Bourgogne, le lotissement Lafumée,(à
gauche) et le lotissement Bachelier (à droite).
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Les bâtiments "Instruction" (à gauche) et "Technique" (à droite) |
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| Les bâtiments "Instruction" (à gauche) et "Technique" (à droite) |
A gauche, le bâtiment
"Instruction" et, à droite le bâtiment "technique"
vus depuis le terrain de sport (sommaire !)
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| Le bâtiment "Instruction" reconnaissable à ses grandes antennes |
| Le bloc "Restauration et Services Généraux" |
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| Le bloc "Restauration" | |
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| Le bâtiment "Restauration" en construction | Le bloc "Restauration" vu de face |
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| Au centre,
terminé en août 1960 avec deux autres réfectoires, le
bâtiment restauration, dans lequel deux réfectoires avaient
été mis en service dès juin 1955 . Début mars 1962, 7 moutons sont tournés à la broche sur la pelouse derrière les cuisines du bâtiment Restauration lors d'un méchoui pour les musulmans, civils et militaires. (à l'occasion de la fin du Ramadan ?). Je me souviens être passé à côté au moment où un homme s'apprêtait à égorger un mouton avec un large couteau en forme de serpe.(courriers adressés par Christian Roux à ses parents): |
Photo
du bâtiment "Services Généraux, Réfectoire,
Cuisines et Installation Frigo", probablement prise depuis le toit-terrasse
du T2. A gauche les cuisines proprement dites avec l'énorme cheminée
aération qui surmonte le bâtiment et à droite sur deux
niveaux les salles réfectoires ultra modernes à l'époque.
(Théo Bruand) Pierre Vantalon ne croit pas que le Service Général, domaine du célèbre capitaine Galipienso, était accolé au bloc restauration, mais qu'il était plutôt accolé à l’arrière du poste de police |
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| En juillet 1955, un des deux réfectoires tout nouvellement mis en service le mois précédent. | Le bâtiment "Restauration" |
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| Le bloc "Restauration" | |
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| Le bloc "Restauration" | En 1961-1962, l'aile du bâtiment restauration, située le plus près du bâtiment A ou T1 de la troupe, hébergeait le mess, réservé aux sous-officiers. (Christian Roux) |
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| Le foyer | La chaufferie du bâtiment "Restauration" |
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| Les cuisines (mises en service en juin 1956) | |
| Les bâtiments "Troupe" |
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| De gauche à droite, le bloc "Restauration" et les bâtiments "Troupe" "A" ou T1, "B" ou T2 et "C" ou T3 | Les bâtiments "Troupe" "A" ou T1, "C" ou T3 (masquant partiellement le bâtiment "B" ou T2 avec les antennes sur la terrasse) et "D" ou T4 |
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| Le bâtiment "A" de face et de profil, résidence du 24ème PESOA pendant la première année de service | |
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| Photo prise depuis le
bâtiment T2 (il n'y avait que le T1 et le T2 jusqu'à mon départ
en octobre 1960. Je logeais au T1 qui hébergeait les stagiaires sous-officiers
Corps de Troupe qui venaient se spécialiser à l'École.
Ces bâtiments comprenaient au rez-de-chaussée surélevé
que l'on atteignait par un escalier perron assez important, 7 pièces
réparties trois et quatre de chaque côté d'une installation
sanitaire éclairée par un claustra de maçonnerie. Au
rez-de-chaussée : salles des services, salles de cours et chambrées
et salles d'étude en face des chambrées. Au premier et deuxième
étages, chambrées et salles d'étude, situées
de part et d'autre d'un couloir central desservi à chaque extrémité
du bâtiment par un escalier de grande largeur. Mitoyen aux escaliers,
à chaque palier, un chambre avec sanitaire pour sous-officiers du
cadre de l'École. Les salles de cours en 1955/56 étaient dans
le Bâtiment T1 en rez-de-chaussée, à la place des trois
chambre faisant vis-à-vis du bureau du Capitaine Auriol et celui
du Lieutenant Rivière, du bureau de la Semaine et de l'adjudant de
Compagnie (qui se nommait Kleiss, en 55/56 et qui avait été
surnommé von Kleiss à cause de son accent prononcé
et de sa rigidité). En 1955/56, chaque bâtiment avait son armurerie
car dans le T1 en rez-de-chaussée et premier étage il y avait
le PESOA (Peloton d'Élèves Sous-Officiers d'Active) et, en
deuxième étage, le PEOR (Peloton d'Élèves Officiers
de Réserve), et le T2 était réservé à
la compagnie d'École, ses bureaux, services et logements troupe et
encadrement célibataire (Théo Bruand) Plus tard, après la construction de tous les bâtiments "Troupe", les quatre bâtiments recevaient la troupe, le 4ème était celui de la Compagnie d'École et des services administratifs. (Pierre Vantalon) |
Bâtiment T2 (où
le Colonel commandant l'École avait son bureau et celui de son secrétariat),
coté salles des Services (3) et salles d'étude (4), toutes
éclairées par de très larges baies vitrées.
Sur l'autre côté du bâtiment les chambres aux trois étages
avaient une loggia balcon séparée de la suivante par un moucharabieh
en béton (si mes souvenirs sont bons), peint en rouge sombre! A chaque
étage au centre du bâtiment se trouvaient les sanitaires (
W-C et douches) célèbres pour les corvées de nettoyage
à la brosse à dent et lame de rasoir…! En sous-sol il
y avait aussi des salles de cours d'exploitation : télétype,
radio , fil et autres. En bout du bâtiment, en sous-sol aussi il y
avait une buanderie-lavoir pour les stagiaires. (Théo Bruand) Le bâtiment B ou T2 abritait l'Infirmerie. C'est là qu'un médecin officier (commandant ou capitaine) m'a fait passer la première visite médicale. Il y avait aussi un médecin aspirant. Les vaccins étaient faits dans ce bâtiment. Il y avait au moins un infirmier et un chauffeur avec un véhicule sanitaire pour emmener les consultants à l'hôpital Maillot. Il y avait au moins une chambre, voire plusieurs, pour y soigner les malades. Je ne sais si l'infirmerie prévue devait occuper tout le bâtiment. L'infirmerie que j'ai connue occupait la partie de rez de chaussée du bâtiment B situé près de l'entrée. Le médecin avait son bureau sur la gauche du couloir. Les vaccins se faisaient dans une pièce située en entrant à droite. (Christian Roux) |
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| La présence d'antennes sur le toit laisse supposer qu'il s'agit peut-être du bâtiment T2 (ou B) qui abritait le commandement | |
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| Bâtiments "Troupe" | |
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| Un des 4 bâtiments "Troupe" | |
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| Encore une vue d'un des bâtiments "Troupe" | Un des bâtiments, probablement T1 (ou A) ou T2 (ou B) de l'EMAT/AFN. La présence de grands tentes, à gauche laisse supposer que tous les bâtiments (T3 ou C et T4 ou D, livrés en 1960) n'avaient pas encore été achevés et qu'il avait été nécessaire d'établir ce campement pour pour héberger certaines activités (à confirmer). Dans le bâtiment A ou T1 étaient hébergés le peloton sous-officiers au rez de chaussée et le peloton EOR à l'étage. Au sous-sol il y avait quelques petites salles de formation pratique (manipulation des armes entre autres) avec un accès en forme de labyrinthe pour, paraît-il, résister en cas de souffle d'une bombe nucléaire |
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| Le bâtiment "Troupe" "D3" ou T4 | |
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| Le bâtiment "Troupe" "D" ou T4 et le bâtiment "B" ou T2 avec ses antennes | |
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| Escaliers des dortoirs | Couloir des dortoirs | Dans une chambre... |
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| Une chambre à Air de France. Pour anecdote, nous avions deux matelas, l'un sur l'autre, ce qui explique les beaux lits au carré). Nous étions les premiers arrivants à Air de France en mars 1955 Quel changement par rapport à Aumale ! (Maurice Viot) | Une chambre avec des lits plus ou moins "au carré" |
| Le Service Auto |
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| Encore en construction, les bâtiments des ateliers auto (à droite) qui seront mis en service en juillet 1961 et le bloc instruction (à gauche) qui ouvrira en octobre 1961. A droite de la route, le lotissement Lafumée, et, au bout de cette route, le chenil de la Gendarmerie. Au fond, le camp du train de Béni-Messous (CIT 160, GT 520) | Derrière le poste de Police, le bâtiment des ateliers auto, encore en construction, implanté sur la piste FRAC (formation rationnelle accélérée de conducteurs automobile), ne sera mis en service qu'en juillet 1961. A droite de la route, le lotissement Lafumée, et au fond, le chenil de la Gendarmerie. |
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| Les garages du Service "Auto" | Sur le coté du Poste de Police, les escaliers menant à la voie conduisant aux garages |
| Divers |
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| Deux postes de garde | |
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| Deux autres postes de garde, au bout du bout du domaine de l'EMAT/AFN, occupé par des tentes, à la limite de la cité de la Police et de la cité Fougeroux dont on distingue les bâtiments | |
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| Le nombre
de grandes tentes montées en périphérie des bâtiments
de l'EMAT (probablement au voisinage de la cité de la Police et de
la cité Fougeroux) ainsi que la présence de poteaux téléphoniques
ou pour l'alimentation électrique semblent indiquer une certaine
pérennité de ces installations "provisoires". Le 22 février 1962, 900 militaires en tenue camouflée, commandos de la Coloniale avec 28 camions et des jeeps ont installé leur campement sur le terrain de l'EMAT dans des tentes toujours prêtes sur place pour accueillir les bataillons en stationnement. Ce qui confirme "une certaine pérennité de ces installations provisoires", et qui n'exclut pas que d'autres tentes aient été installées pour une situation exceptionnelle. (Christian Roux) |
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| Photo est prise des toits-terrasses du bâtiment "Technique" en direction des immeubles civils de la Cité Fougeroux construits en 1957 ou 1958, situés derrière "La Côte d'Or | L'arrière du domaine de l'EMAT/AFN avec vue sur la Cité Fougeroux et la Cité de la Police |
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| Vues
depuis les limites du domaine de l'ELAT/AFN, la cité de la Police,
la cité Fougeroux et l'Armaf. Nous ignorons à quoi correspondent
les 3 bâtiments au premier plan, situés hors du domaine de
l'Ecole. Il pourrait s'agir des bâtiments de "la ferme" indiquée sur au bas du plan de Théo Bruand |
