"Je ne peux t'oublier" - poème d'Arlette Schneider
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Je ne peux t’oublier

L’été
Le soleil brûlait
Ta peau d’hermine
Le sirocco ébouriffait
Tes blanches terrasses

Assise à l’ombre
D’un pin parasol
Je m’enivrais du chant
Des cigales
La nuit
Quand les ruelles
De la casbah
Epanchaient leur tumulte
Sous le regard de la lune
À ma fenêtre
Je comptais les étoiles
Qui dansaient le flamenco

Alger je ne peux t’oublier !

 

Arlette Schneider


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